Le 17 août 2010, au terme d’une expédition du Bangladesh à la France via l'océan Indien et la mer Rouge, le petit voilier de pêche Tara Tari avait démontré qu’on peut fabriquer des bateaux en utilisant un composite à base de fibre de jute. Cette alternative à la fibre de verre présente des avantages écologiques et économiques considérables pour le développement du Bangladesh. Six mois plus tard à Dhaka, l'association Watever fondait un laboratoire de recherche sur les biocomposites pour développer cette nouvelle utilisation de la fibre de jute.

vendredi 15 janvier 2010

Gérard d'Aboville, parrain du projet

Encore une fois le monde de la mer et des marins se fait le lien entre les peuples…
Pour venir en aide à la population bengalie, première victime du réchauffement climatique, le jeune ingénieur naval Corentin de Chatelperron va rallier la France depuis le Bangladesh sur un voilier de pêche. Construit sur place grâce à l'aide des architectes de VPLP, ce voilier est le premier réalisé à base de composite intégrant de la fibre de jute, ressource naturelle du pays. Alliant innovation écologique et traditions locales, il est symbole de solidarité internationale et d'espoir pour cette région défavorisée du monde.

Je suis particulièrement heureux de parrainer Corentin dans cette aventure solidaire et scientifique qui grâce à la mobilisation de partenaires permettra la création de ce centre de recherche.

Gérard d'Aboville.
Traversées en solitaire de l'Atlantique et du Pacifique à la rame
Président du Conseil Supérieur de la Navigation de Plaisance et des Sports Nautiques

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