Le 17 août 2010, au terme d’une expédition du Bangladesh à la France via l'océan Indien et la mer Rouge, le petit voilier de pêche Tara Tari avait démontré qu’on peut fabriquer des bateaux en utilisant un composite à base de fibre de jute. Cette alternative à la fibre de verre présente des avantages écologiques et économiques considérables pour le développement du Bangladesh. Six mois plus tard à Dhaka, l'association Watever fondait un laboratoire de recherche sur les biocomposites pour développer cette nouvelle utilisation de la fibre de jute.

jeudi 10 novembre 2011

Eprouvetticide à l'ICAM de Nantes


Les microscopes, banc de traction, et autres appareils de mesure de l'ICAM ont chauffé quelques jours pour faire avancer les recherches sur le jute.
Au total plus de 70 éprouvettes ont été cassées pour mieux connaître les propriétés du composite fibre de jute/polyester. Ces résultats très prometteurs permettront l'optimisation des techniques de filature, tissage et traitements de la fibre de jute.
Merci à l'ICAM, et particulièrement à l'équipe du Département Matériaux : Eric Le Gal La Salle, Yoann Etourneau et Alexandre.

www.icam.fr

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