26 mai - Alors que le fort vent tombe sur le petit port égyptien de Quseir, notre capricieux petit moteur chinois à manivelle lache à quelques encablures du quai. Retour forcé à terre.Le lendemain matin, Corentin démonte la bête, nettoie le sel qui empèche les soupapes de se fermer correctement et change le joint de culasse. Une petite cure de jouvence qui nous permet de prendre sereinement la mer en direction du détroit de Gubal.
vendredi 4 juin 2010
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